Ah les règles, seules nous pouvons comprendre ce problème. Certaines ont la chance de les vivre sans trop de douleurs ni contrariétés, mais la plupart d’entre nous doivent chaque mois faire front contre celles qui les fragilisent. Maux de ventre tenaces ou bad mood incompréhensible, sauts d’humeur impromptus ou fatigue profonde, elles attaquent de différentes manières, le seul remède étant a priori: attendre qu’elles daignent enfin nous ficher la paix. Pour celles qui en ont marre de cet exercice de patience mensuel, il y a ce texte d’Eckhart Tollé …
C’est dimanche, il pleut, les magasins sont fermés, tes copines maquées sont avec leurs chéris, les autres sont en WE ici ou là, tu te sens profondément, voire douloureusement, seule. La tablette de chocolat te fait de l’oeil, tu n’as envie de rien faire, et surtout tu te sens guettée par ton vieux démon le Spleen et sa copine inséparable Idénoire. C’est clair : Il y a des jours et des nuits où la Solitude te donne le vertige…
Une jupe affriolante, un décolleté suggestif, un petit minois charmeur, et ça y est, la tête leur tourne. Je ne vous apprendrais rien en vous disant que les hommes sont, pour la majorité d’entre eux, extrêmement vulnérables en matière d’attraction féminine… Mais qu’en est-il de nous, les filles ? Tu admettras qu’un beau petit postérieur bradpittien, un regard ténébreux style Orlando Blum, ou un torse à la Hugh Jackman sauraient te faire oublier ton Jules quelques secondes…;-) Alors pourquoi cette idée répandue que nous serions a priori moins vouées à l’infidélité que ces messieurs ? (Petite parenthèse au passage, tu ne m’en voudras pas de généraliser abusivement, bien sûr il y a des femmes infidèles et des hommes qui ne le sont absolument pas…).
